admin – southernstamp.com http://www.southernstamp.com Tue, 17 Jun 2025 12:52:19 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.8.1 http://www.southernstamp.com/wp-content/uploads/2025/05/cropped-favicon-32x32.png admin – southernstamp.com http://www.southernstamp.com 32 32 Comment financer l’achat de matériel pour votre PME sans plomber votre trésorerie http://www.southernstamp.com/comment-financer-lachat-de-materiel-pour-votre-pme-sans-plomber-votre-tresorerie/ http://www.southernstamp.com/comment-financer-lachat-de-materiel-pour-votre-pme-sans-plomber-votre-tresorerie/#respond Tue, 17 Jun 2025 12:33:07 +0000 http://www.southernstamp.com/comment-financer-lachat-de-materiel-pour-votre-pme-sans-plomber-votre-tresorerie/ On va pas se mentir : acheter du matériel pour sa PME, c’est souvent un passage obligé… et un vrai casse-tête financier. Que vous lanciez une petite boulangerie artisanale à Nantes, un atelier de menuiserie à Lyon ou une boîte de production vidéo à Bordeaux, il y a un moment où il faut sortir le carnet de chèques. Camion, machines, imprimantes 3D, presses numériques… les factures grimpent vite. Très vite.

Et là, le piège est classique : on tape dans la trésorerie. Mauvaise idée. Siphonner son cash dispo pour acheter du matos, c’est prendre le risque de se retrouver à sec au moindre imprévu (un client qui paie en retard, une charge surprise, une panne…). Heureusement, il existe plusieurs solutions pour financer l’achat de matériel pro sans flinguer sa trésorerie. Et franchement, certaines sont beaucoup plus accessibles qu’on ne le croit. Pour creuser un peu, je vous conseille d’aller jeter un œil sur https://www.j2m-credit.com qui détaille pas mal d’options concrètes adaptées aux PME.

Le crédit-bail : louer au lieu d’acheter

Clairement, c’est l’une des formules les plus malines quand on veut s’équiper sans s’endetter à mort. Le principe du crédit-bail (ou leasing), c’est simple : vous louez le matériel sur une durée définie (3, 5, parfois 7 ans), avec option d’achat à la fin si vous voulez le garder. Ça vous permet de lisser les paiements dans le temps et surtout de garder votre trésorerie bien au chaud pour les dépenses courantes. En plus, selon le contrat, l’entretien ou l’assurance peuvent être inclus. Pratique, non ?

Le prêt professionnel classique : toujours efficace

Bon, parfois, y’a pas 36 solutions : il faut passer par un prêt bancaire pro. Les banques restent assez ouvertes quand il s’agit de financer de l’investissement matériel (c’est du concret, ça rassure). Le taux dépendra beaucoup de votre profil, de la durée et du type de matériel. Attention quand même aux garanties demandées : hypothèque, caution personnelle, nantissement du matériel… mieux vaut bien négocier dès le départ.

Le financement participatif : surprenant mais possible

On n’y pense pas toujours, mais le crowdlending (prêt participatif) peut être une vraie carte à jouer, surtout pour les PME qui ont une belle histoire à raconter. Plusieurs plateformes permettent de présenter son projet à des investisseurs particuliers qui avancent les fonds en échange d’intérêts. Les taux sont souvent un peu plus élevés qu’en banque, mais la souplesse est appréciable. Et puis, ça peut aussi devenir un chouette levier de communication locale.

Les aides publiques et subventions : à ne pas sous-estimer

Je vous le dis franchement : beaucoup de patrons de PME passent à côté de ces dispositifs, faute de temps ou par méconnaissance. Pourtant, l’État, les régions, Bpifrance, les chambres de métiers… il existe plein de coups de pouce pour financer du matériel, en particulier dans l’innovation, la transition énergétique ou le numérique. Exemple tout simple : une PME qui s’équipe en panneaux solaires ou en machines moins énergivores peut obtenir des subventions non négligeables. Ça vaut le coup de creuser sérieusement.

Le crédit fournisseur : souvent sous-coté

Parfois, la meilleure solution est juste sous votre nez. Certains fournisseurs acceptent de vous accorder des délais de paiement étalés sur plusieurs mois, voire années. Ce crédit fournisseur permet de financer directement l’achat sans passer par la case banque. Bien sûr, tout dépend de votre relation commerciale et de votre capacité à négocier… mais sur du matériel onéreux et durable, c’est une piste à activer.

En résumé

Financer du matériel sans plomber sa trésorerie, c’est tout à fait jouable. Mais ça demande d’ouvrir le jeu, de comparer les pistes et de ne pas foncer tête baissée. Crédit-bail, prêt bancaire, crowdlending, aides publiques, crédit fournisseur… chaque solution a ses avantages et ses contraintes. Le plus important, c’est de choisir celle qui colle à votre réalité du moment. Votre trésorerie vous dira merci.

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Business plan : les chiffres que les investisseurs veulent vraiment voir http://www.southernstamp.com/business-plan-les-chiffres-que-les-investisseurs-veulent-vraiment-voir/ http://www.southernstamp.com/business-plan-les-chiffres-que-les-investisseurs-veulent-vraiment-voir/#respond Tue, 17 Jun 2025 12:30:48 +0000 http://www.southernstamp.com/business-plan-les-chiffres-que-les-investisseurs-veulent-vraiment-voir/ On ne va pas se mentir : le business plan, c’est souvent le truc qu’on redoute un peu. On sait qu’il faut le faire, qu’il est clé pour lever des fonds, mais une fois devant le tableau Excel… blanc total. Et surtout : quels chiffres mettre pour capter l’attention des investisseurs ? Parce que oui, ils ne regardent pas tout avec le même œil. Certains indicateurs les font fuir, d’autres les font sortir le chéquier.

Avant de rentrer dans le vif, je vous glisse une ressource que j’ai trouvée super utile pour mieux comprendre les logiques de financement : https://financevolume.com. Franchement, ça m’a aidé à affiner pas mal d’éléments chiffrés dans mes propres présentations.

Les investisseurs veulent des prévisions réalistes (pas des rêves)

Premier réflexe naturel quand on prépare son business plan : faire des projections de CA un peu trop optimistes. C’est humain. On veut montrer qu’on croit à son projet. Sauf que les investisseurs, eux, sentent l’enfumage à 10 km. Si vous leur annoncez 10 millions d’euros de chiffre d’affaires en 3 ans sans aucune justification solide derrière… ils vont sourire poliment et passer au dossier suivant.

Ce qu’ils veulent voir : une projection de chiffre d’affaires cohérente avec :

  • La taille de votre marché cible (et soyez précis, pas « le marché mondial du e-commerce »…)
  • Votre capacité opérationnelle réelle (équipe, production, distribution)
  • Votre stratégie d’acquisition clients (combien vous coûte chaque client ?)

Un CA de 800 000€ la première année, qui monte à 3 millions à 3 ans, avec un plan clair derrière, c’est souvent bien plus crédible qu’une courbe qui explose façon fusée SpaceX.

La marge : le nerf de la guerre

Le chiffre d’affaires, c’est bien. Mais la marge, c’est ça qui les fait vraiment réagir. Pourquoi ? Parce que ça montre si votre business est sain sur le long terme. Un modèle qui génère 5% de marge nette, c’est tout de suite beaucoup moins sexy qu’un modèle à 25%, même si le CA est plus faible.

Les investisseurs veulent voir :

  • Votre marge brute (CA – coût direct de production / achat des biens vendus)
  • Votre marge nette après toutes les charges (salaires, loyer, marketing, etc.)

Petit conseil perso : faites des scénarios pessimistes aussi. Montrez que même avec une baisse de marge de 5 points, votre boîte tient encore debout. Ça les rassure énormément.

Le besoin de financement (et son utilisation détaillée)

Là, faut être hyper carré. Si vous demandez 500 000€, dites exactement à quoi ils serviront. Pas de flou du type « renforcer la structure ». Non. Ils veulent :

  • 150 000€ pour recruter 3 commerciaux
  • 200 000€ pour lancer la nouvelle plateforme technique
  • 100 000€ en marketing acquisition sur 12 mois
  • 50 000€ de BFR (besoin en fonds de roulement)

Quand c’est limpide, vous inspirez confiance. Et derrière, ça facilite leurs propres calculs de rentabilité de l’investissement.

Le seuil de rentabilité : un chiffre qu’ils vont gratter

Combien faut-il vendre de produits ou de prestations pour couvrir vos charges fixes ? Et à partir de quand vous devenez rentable ? Ce sont deux questions qu’on vous posera systématiquement.

Si vous avez déjà fait quelques ventes, sortez les chiffres réels. Sinon, faites vos hypothèses les plus solides possible. Ne vous contentez pas d’un « normalement on devrait être rentable fin d’année 2 ». Mettez un tableau, une courbe, qu’ils puissent creuser avec vous.

Le coût d’acquisition client (CAC) et la valeur vie client (LTV)

Sur les modèles SaaS, e-commerce, abonnements… ces deux indicateurs sont devenus incontournables.

CAC = combien vous dépensez en marketing et commercial pour signer un client.
LTV = combien ce client va vous rapporter au total sur la durée de la relation.

Si votre LTV est 3 à 5 fois supérieure à votre CAC, bingo. Ça leur parle tout de suite. Et vous passez pour quelqu’un qui maîtrise son tunnel de vente et la rentabilité long terme.

Le cash-flow : parce que la trésorerie, c’est vital

Les investisseurs aiment les belles projections de profits, mais ce qu’ils regardent avec attention, c’est surtout votre capacité à ne pas être en galère de trésorerie tous les trois mois.

Montrez-leur :

  • Votre plan de trésorerie mois par mois
  • Vos délais de paiement clients et fournisseurs
  • Vos besoins de trésorerie en fonction de la croissance

Une boîte peut être « bénéficiaire sur le papier » et se planter à cause d’un simple décalage de trésorerie mal anticipé. Eux le savent très bien.

En résumé : des chiffres crédibles, sourcés, et assumés

En fait, c’est ça le vrai secret d’un bon business plan pour lever des fonds : montrez que vous maîtrisez vos chiffres, que vous avez les pieds sur terre et que vous avez bossé sérieusement le sujet. Ne cherchez pas à impressionner avec des projections lunaires. Cherchez à rassurer.

Et rappelez-vous : l’investisseur n’est pas là pour rêver. Il est là pour évaluer son risque et son retour sur investissement. Donnez-lui des chiffres qu’il peut challenger, et qu’il aura envie de suivre mois après mois.

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Comment choisir la bonne formation certifiante pour évoluer en entreprise http://www.southernstamp.com/comment-choisir-la-bonne-formation-certifiante-pour-evoluer-en-entreprise/ http://www.southernstamp.com/comment-choisir-la-bonne-formation-certifiante-pour-evoluer-en-entreprise/#respond Tue, 17 Jun 2025 10:44:46 +0000 http://www.southernstamp.com/comment-choisir-la-bonne-formation-certifiante-pour-evoluer-en-entreprise/ On va pas tourner autour du pot : aujourd’hui, si tu veux progresser en entreprise, la formation certifiante est devenue quasi incontournable. Les recruteurs regardent ça de près. Les managers aussi. Et franchement, dans un monde où les métiers bougent à toute vitesse, c’est presque une question de survie professionnelle. Mais alors, comment choisir LA bonne formation certifiante sans se planter ? C’est ce qu’on va voir ensemble.

Avant de foncer tête baissée sur le premier catalogue venu, je te conseille d’aller jeter un œil à https://espaceconomie.com. Ils ont pas mal de ressources bien ficelées sur les dispositifs de formation et les enjeux pro du moment. Ça permet de poser les bases avant de trancher.

Pose-toi les bonnes questions (et sois honnête)

La première erreur classique, c’est de choisir une formation parce qu’elle « fait bien sur le CV ». Mauvais calcul. Si derrière, ça ne colle pas à ton vrai besoin, tu risques juste de perdre du temps et de l’argent. Alors demande-toi :

  • Pourquoi tu veux te former ? Monter en compétences ? Changer de poste ? Te reconvertir ?
  • Quels sont les savoir-faire réellement demandés dans ton secteur ? (spoiler : Excel niveau débutant, c’est plus trop différenciant en 2025…)
  • Quel niveau de reconnaissance tu vises ? Certaines formations sont ultra pointues mais peu connues des RH, d’autres très généralistes mais bien estampillées.

Perso, quand j’ai voulu booster mes compétences en gestion de projet, j’ai hésité entre un MBA bien lourd et une certification type PMP. Finalement, c’est le PMP qui m’a ouvert le plus de portes, parce que les recruteurs du secteur connaissaient très bien la valeur de cette certif. Comme quoi.

Regarde la reconnaissance officielle de la formation

Un truc clé à vérifier, c’est si la formation est certifiante au sens officiel du terme. En France, ça passe souvent par une inscription au Répertoire National des Certifications Professionnelles (RNCP) ou au Répertoire Spécifique (RS). Quand c’est validé là-dedans, tu sais que la certification est reconnue par l’État et les branches professionnelles. C’est pas juste un joli diplôme à encadrer dans ton salon.

Vérifie le contenu (et la réalité du terrain)

Sur le papier, beaucoup de programmes font rêver. Mais va voir les détails :

  • Quels modules sont couverts ?
  • Est-ce qu’il y a des cas pratiques, des mises en situation ?
  • Les formateurs sont-ils des pros du terrain ou juste des théoriciens ?

J’ai vu des collègues se retrouver dans des formations où le formateur lisait son PowerPoint pendant 3 jours. Autant te dire qu’à la fin, ils n’étaient pas beaucoup plus avancés…

Regarde aussi le format et la durée

Tu bosses déjà ? Alors impossible de t’absenter 6 mois pour une formation à temps plein. Heureusement, beaucoup de programmes s’adaptent :

  • 100% en ligne (pratique mais demande de la discipline)
  • Blended learning (mix présentiel/distanciel)
  • Soirs & week-end (idéal pour les actifs motivés)

Chacun a ses avantages. Perso, j’ai un faible pour le blended : tu gardes l’interaction humaine, mais tu avances à ton rythme. Et puis avouons-le, c’est plus motivant de voir des vraies têtes de temps en temps.

Checke les avis d’anciens élèves

Avant de signer, essaie de trouver des retours d’expérience d’anciens participants. Forums, LinkedIn, groupes pro… Les avis “off” valent parfois bien plus que les brochures commerciales. Tu verras vite si la promesse est tenue ou si c’est juste du marketing bien huilé.

Pense financement : CPF, entreprise, OPCO…

On en parle assez peu au départ, mais le financement peut tout changer. Le Compte Personnel de Formation (CPF) permet souvent de couvrir tout ou partie de la formation. Certaines boîtes proposent aussi des plans de développement des compétences, ou des accords via les OPCO. Renseigne-toi bien, ça peut faire une sacrée différence sur ton budget perso.

En résumé : sois stratégique

Choisir une formation certifiante, ce n’est pas juste cocher une case sur ton CV. C’est un vrai investissement pour ta carrière. Prends le temps de définir tes objectifs, de valider la qualité du programme, et d’optimiser ton financement. Ce temps passé en amont, c’est souvent ce qui fait la différence entre une formation qui te propulse et une qui ne sert à rien.

Alors, prêt à te lancer ?

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10 erreurs qui plombent une création d’entreprise (et comment les éviter) http://www.southernstamp.com/10-erreurs-qui-plombent-une-creation-dentreprise-et-comment-les-eviter/ http://www.southernstamp.com/10-erreurs-qui-plombent-une-creation-dentreprise-et-comment-les-eviter/#respond Tue, 27 May 2025 14:51:10 +0000 http://www.southernstamp.com/2025/05/27/10-erreurs-qui-plombent-une-creation-dentreprise-et-comment-les-eviter/ Créer son entreprise, c’est grisant. On a mille idées à l’heure, l’adrénaline à fond, et cette envie furieuse de faire bouger les choses. Mais clairement, y’a aussi un paquet de pièges qui guettent. Des erreurs classiques. Évitable, oui… mais faut les connaître.

Voici les 10 plus fréquentes que je croise chez les créateurs (et que j’ai parfois vécues aussi).

1. Se lancer sans vraie étude de marché

Tu te dis que ton idée est géniale. Ton entourage te dit pareil. Et pourtant… t’as pas vraiment testé le truc. Ni regardé si des clients *paieraient réellement* pour ça.

Franchement, même un sondage basique sur LinkedIn ou 10 appels à des prospects potentiels, ça vaut de l’or. N’attends pas d’avoir “fini” pour confronter ton projet à la réalité.

2. Sous-estimer les charges

Ah, le grand classique. Tu prévois 3 000 € de CA par mois, tu te dis que c’est large. Et puis BIM : cotisations sociales, URSSAF, impôts, assurance pro, outils, site web, etc. À la fin, t’as 800 € qui tombent. Peut-être.

Fais un budget béton. Prends des marges. Et surtout : prévois les *vrais* coûts, pas ceux qu’on lit en diagonale sur un forum.

3. Vouloir tout faire tout seul

Site, logo, factures, commercial, com’… t’as tout géré, bravo. Mais t’as aussi perdu un temps fou. Et souvent, le résultat est bof.

Perso, j’ai perdu deux semaines sur un site bricolé moi-même avant de me rendre compte qu’un pro m’aurait fait mieux en 3 jours. Moral : *apprends à déléguer ce qui ne t’apporte pas de valeur directe.*

4. Penser qu’il faut attendre d’être prêt

Mauvaise nouvelle : tu ne le seras jamais à 100 %. Et attendre “le bon moment”, c’est souvent une excuse bien emballée.

Lance une version simple. Teste. Améliore. Et surtout : *accepte que le parfait bloque l’action*.

5. Ne pas se former un minimum

Créer une boîte, c’est aussi gérer un peu d’admin, de gestion, de marketing. Pas besoin d’avoir un MBA. Mais ne pas comprendre la différence entre chiffre d’affaires et bénéfices, c’est un vrai souci.

Forme-toi un peu, même sur YouTube ou via le CPF. *Tu n’as pas besoin de devenir expert, juste de savoir ce que tu fais.*

6. Se lancer sans réseau

T’as une idée, mais personne autour pour la porter, en parler, t’ouvrir des portes. Mauvais plan. Dans l’entrepreneuriat, le réseau peut littéralement *faire décoller un projet en 3 mois*… ou le laisser mourir dans son coin.

Allez, pousse la porte d’un meet-up local, commente sur LinkedIn, participe à un webinaire. C’est pas du temps perdu, c’est une assurance-vie business.

7. Copier un modèle qui ne te correspond pas

Tu vois d’autres réussir avec une boutique en ligne, un business de coaching, un SaaS… et tu fonces sans vraiment savoir si ça colle à ton style de vie ou tes forces.

Moi, j’ai testé le modèle “produits numériques passifs” parce que ça vendait du rêve. Résultat : zéro kiff, zéro vente. *Fais un truc que tu comprends et qui t’enthousiasme vraiment.*

8. Laisser de côté la vente (parce que ça fait peur)

Tu veux que ton produit se vende “tout seul”. Mauvaise idée. Vendre, c’est pas sale. C’est *indispensable*.

Tu peux adorer ton produit, ton service, ton idée. Mais si personne ne l’achète ? Ben c’est juste un loisir cher. Apprends à vendre. Même un minimum. C’est pas si terrible, promis.

9. Mal choisir son statut juridique

Auto-entreprise ? SASU ? EURL ? Tu fais au pif, ou tu copies le pote qui s’est lancé l’an dernier. Sauf que ça peut te coûter cher – en charges, en fiscalité, en galères plus tard.

Renseigne-toi. Appelle un comptable, même juste pour une heure. *Un mauvais choix juridique au début peut te coller à la peau longtemps.*

10. Ne pas avoir de plan B financier

Tu quittes ton job du jour au lendemain, sans épargne, sans revenus de secours. Risqué. Très risqué.

Perso, je recommande souvent de garder une activité partielle, un chômage en cours ou au moins 3 à 6 mois d’épargne. *Ça change tout niveau sérénité et prise de décision.*

 

En résumé ? Créer une entreprise, c’est un kiff immense… mais ça demande aussi un peu de lucidité. Les erreurs, on en fera toujours. Mais celles-là, si tu peux les éviter, tu t’épargnes pas mal de stress (et quelques trous dans la trésorerie).

Alors, t’en es où de ton projet ? T’as déjà coché quelques erreurs ou t’es encore en phase d’exploration ?

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